Laszlo Polgar mena avec ses 3 filles, Susan et Judith (Grand Maître International) et Zsofia (Maître International) une expérience pédagogique. Les enfants n'allérent pas à l'école mais apprirent à la maison avec comme matière principale le jeu d'échecs. Chacune d'entre elle possède plusieurs diplômes, parlent
plusieures langues et sont GMI ou MI. C'est la démonstration qu'une fille élevée dans un esprit d'égalité avec les hommes, réussit aussi bien qu'eux.
Le jeu d'échecs est une activité assez futile qui pourrait moins intéresser les femmes qui mûrissent plus rapidement que les hommes et qui peuvent ainsi avoir d'autres priorités.
Il faut rajouter que les priorités sont largement touchées par les stéréotypes sociaux, ceux inculqués par l'éducation.
Lorsqu'un enfant naît, la femme devient mère et est souvent accaparée par ce nouveau-né.
Robert Tierney :
Deamnder pourquoi les femmes jouent moins bien que les hommes au jeu d'échecs est une mauvaise question. C'est un domaine dominé par les hommes avec une histoire faîte par les hommes.
En conclusion, l'inégalité entre et femme dans le jeu d'échecs se trouve moins dans une différence de capacité que dans des raisons sociales. Un jeu fait par
des hommes pour des hommes. Des stéréotypes éloignant les femmes du jeu et certainement des priorités plus importantes pour les femmes dans d'autres domaines.

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Article sympa pour les femmes. Bonne journée.
RépondreSupprimerIl en faut Malika
RépondreSupprimerJ'aime bien le backgammon mais je n'accroche pas au jeu d'échecs. Bonne soirée !
RépondreSupprimerCa viendra peut être. Bonne journée !
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